[Eric Nalbandian] Un Retour Express et une Nouvelle...

Spoiler:

Pfiou ! Que ça pouvait faire du bien de se dire qu'on allait rentrer chez soi, même pour seulement deux jours ! Le mercato hivernal étant arrivé, j'en avais profité pour pouvoir revenir un week end sur Bayonne. Ces deux jours me feraient le plus grand bien pour me ressourcer et bien entamer la seconde partie de saison.
Je venais de monter dans le train qui me ramènerais dans mon cher Pays Basque ! Hmmm... je salivais déjà à l'avance du jambon que ma mère allait préparer pour mon retour ! Je regardai mon billet et chercha ma place dans le compartiment 3. Je me trouvais à la place 48. Il y avait une place vide en face de moi. Après avoir déposé mes affaires dans l'endroit prévu à cet effet, je m'étais assis et attendis patiemment mon départ. Soudain, une voix monotone annonça :

“Départ du train n°853 à destination de Bayonne. Un contrôleur viendra dans chaque compartiment vérifier vos billets. Merci d'avoir choisit notre compagnie : nous vous souhaitons un bon voyage.”

Je pris mon sac à dos sur mes jambes et chercha mon billet. Je le sortis et le gardai dans mes mains. Le contrôleur arriva peu après et vérifia tous les passagers. Il arriva vers moi et je lui présentai mon billet en demandant :

- Excusez moi, savez vous si cette place est réservé ?

Tout en compostant mon billet, l'homme me répondit :

- Non il ne me semble pas. Bon voyage monsieur.

Je le remerciai et il s'en alla. De mon sac à dos, je sortis un bouquin et me mis à lire. Après seulement 10 minutes, un jeune garçon s'approcha de moi et m'interrogea :

- Excusez moi, cette place est prise ?

- Non tu peux t'asseoir.

Il s'assit et je continuai ma lecture. Le garçon me regardait et paraissait m'inspecter. Un peu intrigué par ce qu'il faisait je lui demandai :

- Tu te sens bien ?

- Oui oui... Répondit - il. Dites moi, vous êtes Eric Nalbandian, n'est - ce pas ?

J'en faillis lâcher mon livre et je relevai brusquement la tête. Je jaugea l'adolescent en face de moi. Il devait avoir entre 13 et 15 ans. Je fus surpris qu'il me connaisse car moi je ne le connaissais pas.

La question du garçon m'avait pris au dépourvu. Comment pouvait – il savoir qui j'étais alors que je ne connaissais cet adolescent ni d'Eve, ni d'Adam ! Je regardai à nouveau l'adolescent et répondit :

-Oui c'est moi. Mais comment tu sais qui je suis ? Et qui es tu ? Tu es seul ?

Le garçon, tout sourire, jubila :

-Waouh ! Je suis en face d'Eric Nalbandian ! Vous savez j'habite à Monaco et je fais du foot. J'ai vu tous les matchs de l'équipe junior et vous êtes mon joueur préféré ! Vous voulez bien me signer un autographe s'il vous plait? Au fait, moi c'est Gaël, 14 ans. Je voyage seul jusqu'à Bayonne.J'ai mes grand parents là bas et je vais les voir ce week end.

-Enchanté Gaël. Tu vas à Bayonne ? Moi aussi !

Il me tendit un poster me représentant: quel honneur ! Je n'avais même pas fait attention que le magasine du club avait fait un poster à mon effigie !

“Pour Gaël, en te souhaitant bon courage pour le football. Salut, vive Bayonne et merci pour cette rencontre.
Eric Nalbandian”

C'est ce que je mis sur le poster que me tendais le gamin. J'étais très honoré d'avoir signé mon premier autographe à l'un de mes premiers fans hors proches. Je lui fit :

-Merci beaucoup Gaël pour cette rencontre ! Tu es le premier à qui je signe un autographe ! Je m'en souviendrais.

Le garçon fut encore plus fier quand je lui avais dit qu'il était la première personne à qui je signais un autographe. Il prononça :

-Vous habitez à Bayonne ?! C'est tellement bien comme ville ! J'espère qu'on se reverra souvent !

-Oui moi aussi j'espère bien te revoir! Peut être qu'un jour tu intègreras l'équipe junior comme moi. Lui dis – je en faisant un clin d'œil.

Je portais le pull gris que j'avais acheté avec Aleks' lors de notre sortie. J'avais pas vraiment prévu de discuter avec quelqu'un mais ça serai amusant ! Pendant tout le trajet du train, on parla de tout et de rien. De nos vies, de nos passions, etc...
Nous ne vîmes pas le temps passer car nous allions rentrer en gare de Bayonne. Soudain je l'interrogeai :

-Tes grands parents viennent te chercher à la gare ?

-Oui ! Merci de vous en inquiéter !

-Tu sais tu peut me tutoyer ! J'ai l'impression d'être un vieillard quand tu me dis “vous” ! Tiens prend ça : mais promets moi de le donner à personne, promis ?

-Promis Eric ! Vous... Euh tu es trop génial !

Je venais de lui passer mon numéro de téléphone. J'avais envie de garder contact avec lui et puis c'était mon tout premier supporter hors proches !
Nous descendîmes du train et nous sommes dit au revoir. Je le vis courir, tout joyeux, vers ses grands parents. Moi ? J'allais rentrer à pieds chez moi, c'était pas loin.J'espérais trouver Aurélia à mon arrivée.

Spoiler:

Après m'être faufilé parmi la foule de gens qui était dans la gare, je pus enfin sortir. La première chose que je fis c'est d'inspirer un bon coup l'air pur de la ville :

-Ce qu'on est bien à Bayonne quand même !

Après avoir reconnu plusieurs bâtiments familiers, tels des restaurants, des hôtels ou encore la poste, je me mis en route vers la maison familiale. Je retrouva avec plaisir les trottoirs larges, dont certains auraient mérités d'être refaits, de ma tendre Bayonne. Je marchais lentement pour bien m'imprégner à nouveau de cette ville si chère à mon coeur. Je reconnu les têtes de plusieurs personnes et ça me fit chaud au coeur : à Monaco aucune tête ne m'était familière et ce sentiment nouveau était un peu bizarre, compte tenu que je connaissais la plupart des gens d'ici depuis un paquet d'années.
J'approchai bientôt de mon quartier,qu'il m'avait été dur de laisser. J'entendais déjà les enfants,qui ne dépassaient pas les 12 ans, jouer sur le terrain vague à proximité. Ce bruit me ravi : j'avais commencé à jouer au foot avec mes amis ici, pour m'entrainer encore plus après mes entrainements. Lorsque je passais, je les saluais et ils furent content de me voir car dans mon quartier tout le monde se connaissait. J'approchai à grand pas de mon habitat. Une certaine boule au ventre vint m'envahir. C'était assez bête comme réaction mais j'espérais que tout le monde soit à la maison pour mon retour.Enfin, je me trouvais face à ma maison. Une maison où j'avais grandis, jouer, appris, pleurer, rit et où j'avais fait tout un tas d'autres choses. Je franchis le portail et approcha doucement vers la porte. Je pris soin d'éviter de me prendre la marche d'où on pouvait ouvrir la porte. Je mis ma main sur la poignée et tourna cette dernière avec une lenteur inouï ! C'était ouvert, et j'entrai dans le vestibule. Personne. C'était très surprenant.J'avançai petit à petit. Je déposais mon manteau et vint dans le salon, sans lumière. C'est à ce moment que tout s'alluma et que tout mes proches me crièrent :

-Surprise !

Je sourit et m'avança vers ma famille.Je ne vit pas Aurélia : m'aurait – elle oublié en ce jour si particulier ? Je rentrai après plusieurs mois quand même ! Mais bon, je suis sûr que je la verrais ce week end. Malgré tout, cela me chiffonnait. Je vins, les bras ouvert, vers mes parents et ma soeur, qui m'accueillir comme le fils prodigue.

-Mon fils ! Comment c'est à Monaco ?Me demanda mon père

-Ca peut aller ! C'est sûr que c'est pas comme ici mais bon, on s'y fait !

-Hey frangin ! Comment tu te sens ? Ils sont sympa avec toi dans l'équipe ? Parce que sinon je vais leur donner une bonne leçon !

Les paroles de ma soeur me firent éclater de rire ! C'était tout elle ça ! Sans cesse vouloir me protéger mais toujours avec humour !

-T'inquiètes pas [Eric Nalbandian] Un Retour Express et une Nouvelle... 495298

[Eric Nalbandian] Un Retour Express et une Nouvelle... 495298

! Il y a une super bonne ambiance dans l'équipe et on s'apprécie tous donc n'ai aucun souci sur ce plan.

Je me tournai vers ma mère, qui avait attendu avec les larmes aux yeux que je vienne la prendre dans mes bras. Lorsque ce fut chose faite, elle pleura plusieurs instants sur mon torse. J'essayais de la rassurer :

-T'inquiètes pas maman. Il y a deschoses plus tristes sur lesquelles il faut pleurer. Sèches teslarmes.

Elle releva la tête et plongea son regard ans le mien et me sourit. Il m'embrassa sur le front, comme elle en avait l'habitude depuis que j'étais né. Je le lui rendis sur la joue. Je lâchais ma mère quand soudain, quelqu'un me cacha la vue avec ses mains, tout en me demandant la question rituelle :

-Qui c'est ?

A cette voix, je faillis pleurer de joie, tellement je fus heureux de l'entendre. Comment avais – je pu ne pas reconnaître ce doux parfum et ces mains délicates. Je savais bien qu'elle n'aurait pas pu m'oublier comme ça, et surtout aujourd'hui. Je pris les mains dans les miennes, les relevai et me tourna à une vitesse folle pour prendre Aurélia dans mes bras.J'étais aux bords des larmes et pour me rassurer que je ne rêvais pas je colla ma joue contre la sienne. Je palpais ses cheveux et elle fit de même avec les miens. Après ces tendres retrouvailles je put enfin lui dire :

-Tu m'as tellement manqué.

-Toi aussi tu m'as énormément manqué.

Je resserrai mon étreinte et déposa un baiser sur sa joue. Elle me le rendit et j'en eus des frissons.Puis, nous étant lâchés, nous nous regardâmes et je lui dit :

-Tu peux pas savoir à quel point je suis heureux de te revoir.

-Pareil pour moi ! Me répondit –elle

Après ces tendres retrouvailles, nous fêtâmes mon retour avec une coupe de champagne et une part de gâteau. Je sentais que ces deux jours allaient être merveilleux.

Après avoir fêté mon retour, j'aidai ma famille à ranger et laver ce qui devait l'être. Aurélia était avec moi et m'aidait. Chaque seconde passé avec elle me remplissait de joie. Mais que m'arrivait – il ? Etais – je en train de m'avouer que j'éprouvais bien plus de l'amitié à son encontre ? Je crois que mon subconscient le savais depuis bien longtemps, mais à moi, il m'avait fallu bien plus de temps ! Il fallait que je lui parle. Mais comment faire ? Et si elle n'éprouvait rien d'amoureux à mon égard ? Je serai dans de beau draps ! Mais plus le temps s'écoulait et plus ça me faisait mal de garder enfoui, au plus profond de moi même, ces sentiments. Tous les deux, nous venions de finir la vaisselle des verres et des assiettes. Je dois me lancer !Elle commença à faire un pas pour partir, pensant que j'allais suivre, mais je lui pris la main pour la retenir. Elle s'arrêta pour me faire face. Son regard plongea dans le mien : elle attendait que je parle, vu que c'est moi qui l'avait retenu. Je fus tétanisé et un silence pesant s'installa. Je parvins enfin à le briser et je lui dit :

-Tu veux faire un tour ?

-Pourquoi pas !

C'était déjà ça de gagné ! Je pris mon sac, avec son petit cadeau que j'avais préparé et nous partîmes. Lorsque je franchis le seuil de la porte je croisa ma soeur, qui me fit un clin d'œil. Je n'ai pas trop compris pourquoi au début, mais je crois qu'elle avait deviné. Je suis même certain qu'elle le supposait depuis longtemps. J'ouvris le battant du portail à Aurélia, qui me remercia et nous nous mirent en route. Nous avions convenu de monter vers les hauteurs de la ville : de là bas,on pouvait admirer toute la ville, sur pente douce d'herbe verte,fraichement coupé. Le trajet nous pris une bonne demie heure et nous arrivâmes bientôt à notre endroit. Nous avions l'habitude d'y aller souvent quand nous étions enfant. Même adolescent, nous y montions de temps en temps. Mais cela devait bien faire presque un an que nous n'y étions plus allé tout les deux. Il y avait toujours le grand cerisier, et nous nous couchâmes juste en dessous pour être à l'abri du soleil brûlant. Nous restâmes dans cette position assez longtemps, presque une heure, ne rompant le silence que par des petites discussions. Vu que nous étions à l'heure d'hiver, le soleil commençait doucement à se coucher. Je me décida de lui offrir son cadeau.

-Aurélia, j'ai quelque chose pour toi.

Elle tourna la tête vers moi et m'interrogea du regard. Je pris mon sac à dos et farfouilla à l'intérieur pour en sortir quelque chose de mou, emballé dans du papier cadeau. J'espérais que ce que je lui donnais lui plairait.Elle ouvrit le paquet avec soin et délicatesse et prit le vêtement dans ses mains pour le voir en entier. Elle le tourna et me dit :

-Oh merci Eric ! Tu me fais un merveilleux cadeau ! Maintenant, je penserai tout le temps à toi quand je porterai ton maillot !

Parce que oui, son cadeau c'était mon maillot du premier match que j'ai disputé avec l'ASM. Il y avait le numéro 7 et mon nom inscrit derrière. Cependant, elle n'avait pas encore tout eu.

-De rien. Mais j'ai encore quelque chose d'autre.

De ma poche, je sortis un petit coffret et le lui tendit :

-Tiens, prends le.

Elle l'ouvrit et porta sa main à la bouche.

-Je... elles sont magnifiques Eric ! Tu n'aurais pas du ! Ces boucles d'oreilles ont du te couter une fortune !

-T'inquiète pas. Mets les.

Elle s'exécuta et elles lui allèrent à ravir.

-Elles te vont super bien !

Elle m'adressa un sourire gêné en guise de réponse. Puis elle me demanda :

-C'était pour ça que tu voulais qu'on aille ici ? Pour m'offrir des cadeaux pour ton retour ?

Je savais bien que la question fatidique devait arriver. Je ne savais pas trop quoi faire. Je déglutis et pris mon courage à deux mains :

-Non... En fait je... Je voulais te dire...

J'y arrivais pas ! Pourquoi ça voulait pas sortir ? A croire que j'étais devenu un débile profond. Je détourna mon regard et je tenta une nouvelle fois :

-En fait... Tu vois...Je...

Sans que mon cerveau l'ai commandé,mes mains s'étaient rapprochés des siennes, jusqu'à les prendre.Suivant à cela, ma tête s'approcha doucement de la sienne. Et là,je faillis tomber dans les pommes. J'étais en train d'échanger mon tout premier baiser d'amour : le premier, le vrai, le seul. Avec celle que j'aimais plus que tout au monde en plus. A la base c'était juste un tout petit baiser de rien du tout mais elle me l'avait rendu et il dura plusieurs instants. Lorsque nos lèvres se quittèrent et que nous rouvrîmes les yeux, je redescendis sur terre. La regardant,je lui dis :

-Je voulais te dire que je t'aime.

Elle me regarda et me répondit :

-Moi aussi.

Et là, nous nous enlacèrent et restâmes ainsi jusqu'au coucher total du soleil.

Spoiler:

Waouh ! Je venais de passer les deux plus beaux jours de ma vie, pour l'instant ! J'étais revenu à Bayonne, j'avais revu ma famille et j'avais avoué à Aurélia que je l'aimais, ce qui s'était soldé par notre premier baiser. Nous avions passé tout notre dimanche ensemble, passant notre temps à rire et à nous bécoter : oui bon c'était nouveau et je repartais,donc j'en profitais un p'tit peu ! Mon séjour touchait à fin. Il ne me restait plus que quelques heures avant de prendre le train. Je rassemblais mes affaires et descendis mon sac de voyage ainsi que mon sac du club qui me servait de sac de voyage. Mon père avait une réunion avec le club de la ville, et Aurélia devait faire quelques courses. J'étais donc seul avec ma mère, Luce, ma grande soeur,étant avec Léo, son petit copain. Elle était dans le salon,m'observant d'un œil attentif. Avec ma mère, on parlait pas beaucoup mais on se comprenait comme ça et on s'aimait beaucoup.Pourtant, elle prit la parole :

-Tu as tellement changé depuis ton départ !

Elle passait sa main sur ma joue pendant qu'elle parlait. J'esquissai un sourire. Elle poursuivit :

-Tu es tout pour moi Eric...

Elle avait marqué une pause : ça ne lui ressemblait pas. Je levai la tête, l'interrogeant du regard.Elle me regarda et reprit, doucement comme si sa voix se mourrait :

-Il faut que je te dise quelque chose.

Là, je ne savais plus quoi penser. Je lui demanda :

-Que se passe – t – il ? Tu n'es jamais comme ça !

-Il faut que je t'avoue quelque chose.Tu as un demi frère !

Je la regardai, la bouche grande ouverte par la surprise. Je me repris et lui dit :

-Tu as trompé papa ? Comment as tu...

Elle me coupa et me rassura :

-Non, jamais je n'aurai pu faire ça à ton père ! Ca s'est passé avant que je rencontre ton père.

-Raconte moi tout !

-C'était trois ans avant que je rencontre ton père. J'étais partis en Ecosse et là bas, j'ai rencontré un homme dont je suis tombé amoureuse. Très vite nous sommes restés ensemble. Il avait quelque problème, alors il partit avec moi en France. Nous avons eu un fils peu après. Nous étions jeune, mais prêts à nous occuper d'un enfant. En l'honneur de son grand père, notre bébé s'appela Gareth. Mais, plusieurs mois après ça naissance, à la mort de ma grand mère, tes grands parent sdécidèrent de déménager et il ne voulait pas que j'emporte le bébé avec moi, me jugeant trop jeune. Andrew, il se nommait ainsi,comprenait leur décision et décida d'élever Gareth. Je pus le revoir de temps en temps, mais Andrew du partir au Pays de Galle cardes gens l'avaient menacé. Je n'eus plus aucune nouvelle. Mais le mois dernier, j'ai reçu une lettre de Gareth, m'annonçant la mort d'Andrew. Comme il n'avait nulle part où aller je lui ai dit devenir à la maison. Il doit arriver la semaine prochaine. Voilà...

Toute cette histoire me semblait bien triste et sentant ma mère un peu ébranlée, je la prit dans mes bras. Elle pleura un bon coup et me demanda :

-Tu ne m'en veux pas ?

-Non. Tu m'as dit la vérité et tu n'as fait de mal à personne. Tu as un énorme courage maman. Je t'aime.

-Oh mon fils ! Tu es mon bonheur !

Lorsqu'elle dit cela, elle pleurait mais de joie et elle m'embrassa.
Il était bientôt l'heure de partir.Je partais vers la gare. J'arrivais petit à petit, mais ma cadence était très lente : je ne voulais pas quitter Bayonne ! Lorsque j'arrivais à la gare je me dirigeais directement vers le quai d'embarquement. Le train allait arriver quand Aurélia survint devant moi.

-Tu comptais tout de même pas partir sans me dire au revoir j'espère !

Pour lui répondre, je l'embrassais un long moment tout en la serrant contre moi. Lorsque nous eûmes finis,je lui dit :

-Tu viendras me voir ?

-Je te promets que je viendrai !

Au moment où elle prononça ces paroles, le train entra en gare. Je l'embrassais une dernière fois et monta. Je chercha ma place. Je m'assis, fit un dernier au revoir à Aurélia et le train partit. Le trajet se déroula sans encombre et j'arrivai à Monaco vers 19h30. Je prit le bus qui m'amena devant le centre de formation. Je regagnai ma chambre, rangeai mes affaires et partit dans la salle de muscu. J'étais regonflé à bloc pour la deuxième partie de la saison : j'allais tout donner pour offrir la victoire aux miens.

Gaël ne vous oublira pas de si tôt. Il espère vraiment que vous allez montrer tout ce que vous savez faire sur un terrain de football !! Votre relation évolue, +4.

Votre père, Juan Miguel Nalbandian, et vore soeur, Luce Nalbandian, sont déçut de n'avoir passer qu peu de temps avec vous. Ils veulent vous retrouver plus longtemps la prochane fois. Votre relation évolue, +1.

Aurélia Batistan semble vraiment attaché à vous, elle espère seulement que la distance n'influancea pas votre façn de la voir. Elle ne veux pas vous perdre. Votre relation évolue, +2.

Votre mère, Angela Nalbandian, sait que vous êtes un jeune homme très mature. Le fait que vous semblez prendre ben le fait que vous avez un demi-frère la rassure concernant certain doute. Votre relation évolue, +3.

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